Les Jeux Paralympiques étaient censés être inclusifs mais ils ne concernaient que les handicapés physiques malheureusement ceux atteints par les maladies de l’intelligence d’origine génétique (trisomiques, autistes,…) en ont été exclus.
En 2016, un rapport du Sénat faisait la lumière sur les 6 800 personnes handicapées accueillies dans des établissements situés en Belgique dont environ 23 % d’enfants. Aujourd’hui, ils sont 8 258 dont 1 250 enfants. Dans l’avant-propos, il est précisé : “Historique, la loi de séparation de l’Église et de l’État de 1905 a poussé de nombreuses congrégations religieuses, qui étaient alors les acteurs majoritaires de la prise en charge du handicap du nord de la France, à traverser la frontière.”
https://www.senat.fr/rap/r16-218/r16-2181.html#toc2
Dans l’euphorie des Jeux, Valérie Pécresse, présidente du Conseil Régional d’Ile-de-France, a proposé un plan de 40 milliards pour rendre accessible les transports en commun aux personnes handicapés physiques. Bien entendu, depuis 1905, les familles des autismes n’ont jamais bénéficié d’un tel soutien financier en France.